Chaque soir
Se mettre à sa table
Songer que la vie pimentée de quelques « si » épars et colorés
Serait autre
Comme cet autre qui te regarde marcher
Chaque soir à ta table
Et rêver chaque soir d’une vie que tu pourrais rêver
De la malice du temps
Qui te joue la comédie du tiroir-caisse
« Tu te donnes
Je te ronge
Je ne te rends rien »
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