Je te salue Paris ma vieille
Je perche à Brest doré navrant
J’ai point vu l’pont à Plougastel
La mère Diroise a bu mon sang
Mon gai pot aime ta ritournelle
Colle à ma vie ce pauv’ tourment
Ne m’chantez pas les quais dla Seine
Quand toi tu flirtes à Moulin Blanc
Je te salue Marie Ma Reine
Que vla partie au firme amant
Si tu reviens chez Temporel
Sont toujours las nos beaux amants
Je te salue la vie ma belle
Fille de l’air et du grand vent
Te vla enfuie à tire d’aile
Conter fleurette au vieil enfant
Je te salue la mort vilaine
J’ai pas envie d’rentrer dans l’rang
Mais si tu veux mon cœur fidèle
Attends en vain à Moulin Blanc
Je te salue Paris ma scène
Je perche à Brest doré navrant
Et si j’t’écris ce bout d’poème
Tu crois rêver c’est mieux kavant
Ouaouh ! Si c’est pas du slam ça explique-moi ce que c’est !
Bravo Joël !
Bises d’Annie.
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» Je perche à Brest doré navrant »… 🙂
D’évidence le texte est musical, fait pour être dit ou/et chanté.
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Talent assurément et aux multiples facettes aussi sûrement… Je ne trouve rien en « ettes » !!!
Bravo Joël !
D’accord je suis avec les 2 coms précédents.. Ecrit pour être dit !
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