Valérie ROUZEAU, « Pas revoir », suivi de « Neige rien », la petite vermillon, Editions de La Table Ronde, 2010

« Une rencontre aussi soudaine, qui mêle reconnaissance brutale et fragile complicité, attend ceux qui pour la première fois vont lire et entendre la voix de Valérie Rouzeau. D’emblée, il y a ce ton en rupture, cette adresse bousculée, ce langage précipité. D’emblée il y a ce murmure qui semble se prendre lui-même de vitesse pour lutter contre un destin qui n’attendra pas.

Dans le déferlement des messages factices, des bruits de glotte, des rengaines rhétoriques, une voix nouvelle ce n’est pas rien. Une voix vraiment nouvelle qui ne ressemble à aucune autre. Une voix qui se reconnaît d’un signe, d’un souffle, et que l’on capte à jamais, à toujours. Un tel prodige a pris depuis quelque temps le nom de Valérie Rouzeau, et c’est un prodige qui dure. »

André Velter, Préface à « Pas revoir », suivi de « Neige rien », la petite vermillon, Editions La Table Ronde, 2010

 

Je n’ai jamais entendu parler de toi
Valérie Rouzeau
Je ne sais rien de toi
Un matin je me promène
Librairie Le Merle Paris
Moqueur rue de Charonne
Un petit livre sept euros
Tiens tiens oui
Ah mais tiens tiens
Ça se peut bien
Oh la c’est arrivé
Pas revoir Neige rien

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