Gustave FLAUBERT, L’Education sentimentale, Classiques Pocket, n° 6014 Florilège « Pellerin lisait tous les ouvrages d’esthétique pour découvrir la véritable théorie du Beau, convaincu, quand il l’aurait trouvée, de faire des chefs-d’oeuvre. Il s’entourait de tous les auxiliaires imaginables, dessins, plâtres, modèles, gravures ; et il cherchait, se rongeait ; il accusait le temps, ses… Lire la Suite →
Gustave FLAUBERT, la biographie… d’Henri TROYAT !
« Ah ! Je leur en foutrai des romans ! Et des vrais !… », lettre de Gustave Flaubert à Achille, son frère, du 16 janvier 1857 ♦ Montre-moi ce que tu lis, je saurai qui tu es ? Non, montre-moi ce que tu lis, je saurai si tu me ressembles ! Henri Troyat, ce… Lire la Suite →
Sand à Flaubert : « Oui, mon cher ami, j’aime Salammbô »…
« (…) est-on bien autorisé à étourdir d’avertissements et de conseils un homme qui gravit une montagne inexplorée ? Toute oeuvre originale est cette montagne-là. Elle n’a pas de chemin connu.
L’adverbe de manière dans Madame Bovary, de Gustave Flaubert…
« L’adverbe de manière dans Madame Bovary, de Gustave Flaubert »… : voilà un beau sujet ! Avec lui, nous sommes sûrs, au moins, d’enchanter nos visiteurs et de les multiplier comme de bons petits pains !
Mario LEVRERO, Le roman lumineux, Traduit de l’espagnol (Uruguay) par Robert Amutio, Notabilia, Editions Noir sur Blanc, 583 pages, 2021
Paru en octobre dernier aux éditions Noir sur Blanc, dans une traduction en français de Robert Amutio, Le roman lumineux de Mario Levrero est un livre déroutant, hors norme, qui fascine au risque de déplaire.
Jack LONDON, John Barleycorn, Le cabaret de la dernière chance, récit
De tout temps, dans la langue populaire américaine, « John Barleycorn » symbolise et personnifie l’alcool. « John Barleycorn », littéralement « maïs d’orge » ou « grain d’orge », est à l’origine « une chanson folklorique anglaise et écossaise ». Le récit de Jack London, intitulé John Barleycorn, tirerait son titre de cette chanson. Dans l’oeuvre de Jack London, John Barleycorn constitue un texte à part. Ecrit en 1912, publié en 1913, c’est l’un des derniers textes qu’il aura encore le temps d’achever. Toute sa vie, en effet, Jack London a bu et abusé de l’alcool.
Où l’on traite de la rentrée littéraire d’hiver 2021, de « Cette brume insensée » d’Enrique VILA-MATAS, et d’aimables cueilleurs de pâquerettes…
Cette brume insensée raconte l’histoire de deux frères, Rainer et Simon. Ils sont catalans. L’un, Rainer, le plus débrouillard dirons-nous, vit à New York depuis plus de vingt ans. Il est écrivain, « cinq romans courts » ont réussi à le rendre célèbre. Néanmoins, à l’instar d’un Jerome David Salinger ou d’un Thomas Pynchon, en dépit de sa célébrité, ou à cause d’elle, il s’évertue à passer complètement inaperçu…
Mario LEVRERO, Le discours vide, Roman, 190 pages, Avant-propos d’Ignacio Echevarría, traduit de l’espagnol (Uruguay) par Robert Amutio, Les Editions Noir sur Blanc, 2018.
Le discours vide, de l’écrivain uruguayen Mario Levrero, a été édité en espagnol en 1996. Il faut attendre 2018 pour qu’il soit publié en langue française, à l’initiative des éditions Noir sur Blanc, dans une excellente traduction de Robert Amutio, à qui l’on doit déjà celle des romans de Roberto Bolaño.
Au secours ? Michel HOUELLEBECQ revient !
Michel HOUELLEBECQ, Sérotonine, Hors Collection, Littérature française, 4 janvier 2019, 352 pages, Flammarion « Le bonheur pris comme but se détruit à plein bords. Il coule à plein bords chez ceux qui ne cherchent pas la satisfaction et vivent en dehors d’eux pour une idée. », Marcel Proust, lettre à Gaston Gallimard, Proust, Correspondance, Garnier… Lire la Suite →
Jupiter
« Monde cruel ! Ô monde cruel ! Je suis le meilleur des gars que la terre ait portés – hospitalier, le cœur sur la main, généreux jusqu’à l’excès – et Dieu me refuse la fortune qu’il me faudrait pour arroser le pays de mes libéralités. », Herman Melville, Cocorico « … je le… Lire la Suite →