Moi, j’aime la mode, et lui sacrifie volontiers. Comme moi, vous l’aurez remarqué : la mode, aujourd’hui, dans l’édition de littérature générale, serait plutôt aux dictionnaires. La littérature, tourneboulée par le numérique, retourne au stade d’avant le miroir… Fini le fleuve roman, je vais te bricoler dans l’éclaté, moi ! Quelle drôle de bel enfant, la littérature !
Lire plusLa France au François ! Bonne chance, Monsieur le Président…
« Les hommes n’aiment pas rendre service, tant à cause du dérangement que parce que la gêne et les revers de leur entourage ne laissent jamais de leur être agréables. En revanche ils désirent être pris pour des bienfaiteurs, recevoir l’expression de la gratitude d’autrui et jouir de ce sentiment de supériorité qui naît du service rendu. »
Lire plusDevinette pascale, la réponse…
« À partir d’un certain âge nos souvenirs sont tellement entre-croisés les uns sur les autres que la chose à laquelle on pense, le livre qu’on lit n’a presque plus d’importance. On a mis de soi-même partout, tout est fécond, tout est dangereux, et on peut faire d’aussi précieuses découvertes que dans les Pensées de…
Lire plusDevinette pascale
Qui, quel écrivain très célèbre, a écrit : « On peut faire d’aussi précieuses découvertes que dans les Pensées de Pascal dans une réclame pour un savon » ?
Lire plusLa rentrée la rentrée la rentrée
Un imbécile qui marche va plus loin qu’un génie assis. Je n’en doute guère, mais le génie assis trouve toujours quatre imbéciles pour le porter sur sa chaise en courant.
Lire plusAvant la rentrée
Quelques livres que j’ai lus dans l’année ou lors des dernières vacances, en attendant la prochaine rentrée éditoriale, avec l’espoir qu’elle sera aussi… littéraire !
Lire plusGrégoire LACROIX, Les Euphorismes de Grégoire, Préface de Pierre Perret, Max Milo Editions Paris, 2006
Edités à l’origine en 2006 aux éditions Max Milo, régulièrement réimprimés depuis, les Euphorismes de Maître Grégoire, comme aime à le nommer le malicieux Pierre Perret, auteur d’une courte et pétillante préface — font un tabac, non, c’est « carnage » que je dois écrire !
Lire plusDe la difficulté d’écrire
Enthousiasme en cavale, imagination en berne, souffle court, inspiration défunte, labeur ingrat ; paresse inextinguible, incoercible, incontournable, incoyable, irrécupérable, inracontable, irréversible ; paresse inénarrable de longs poils partout dans les deux mains jusqu’au cou ; ennui à longueur de jour, ennui à vomir la nuit ; soupirs longs comme un jour sans vin ; pétards…
Lire plusSherwood Anderson, Un conteur se raconte, Mon père et moi, 1924
Figurez-vous que je sortais tout juste de la piscine, je remontais la rue de la Jonquière. Le SDF assis sur le trottoir, que je croise d’habitude, à qui je refile l’euro de la consigne du vestiaire était absent. J’avise la petite librairie sympa, située un peu plus haut, et ses deux caisses à lapins sur…
Lire plusUn livre à soi, de Francis Scott Fitzgerald, février 2011, éditions Les Belles Lettres, collection le goût des idées, 320 pages
« 1929. L’impression que tout l’alcool a été bu et que tout ce qu’il peut apporter a été déjà expérimenté, et cependant – Garçon, un chablis Mouton 1902 et pour commencer une petite carafe de vin rosé. C’est ça – merci * », Un livre à soi, Une brève autobiographie, paru dans The New Yorker,…
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