Le Nouveau Roman me rappelle la culotte du boulevard de Clichy, le boulevard est situé à Paris. Je vous raconte l’histoire de la culotte du boulevard de Clichy ?
Barman
À Paris, place Edmond Rostand, dans le cinquième arrondissement, à deux pas du jardin du Luxembourg, juste à l’angle de la rue de Médicis, il y a un grand, très grand café. C’est le Rostand. Pendant de nombreuses années, certainement plus de vingt, Charlie fut le barman de cet établissement.
Le Jardin du Palais-Royal
Cette nouvelle, il s'agit plutôt d'une évocation du jardin du Palais-Royal, est parue, à l'origine, dans le recueil Jardins de Paris, publié aux éditions du Jardin d’Essai, animés par Simone BALAZARD.
Italo Calvino, Dino Buzzati, et Antonio Tabucchi, Le temps vieillit vite…
Noël approche et, bien entendu, vous ne savez toujours pas quoi lui offrir ! Il se trouve qu’il ou elle aime lire ; de la littérature, de la vraie, de la belle et bonne. Pourquoi ne pas lui offrir un petit coffret de votre invention ? composé, par exemple, de quelques livres de poche puisés dans le meilleur de la littérature italienne contemporaine ?
Rectificatif ! A propos de Winesburg-en-Ohio, de Sherwood Anderson…
Dans un article daté du 6 avril dernier , consacré au recueil de nouvelles Winesburg-en-Ohio de Sherwood Anderson, emporté par un bel élan (dicté par une lecture, il est vrai un peu hâtive, d’un article d’Erwan Desplanques paru dans le numéro 3110 de Télérama [1]), j’écrivis : « En effet, d’une part, à nous, pauvres petits français,... Lire la Suite →
En lisant Sherwood Anderson, Winesburg-en-Ohio ; en relisant Joyce, Dubliners
Qui ne connaît cette dure loi de l'économie « plus un produit est rare, plus grande est sa valeur », et cette autre encore, aussi radicale, et plus décevante, selon laquelle « La mauvaise monnaie chasse la bonne » ? Appliquées à la littérature, et donc transposées, cela nous donne quelque chose du genre : « Les mauvais livres chassent les bons » et « Plus un livre se fait rare, meilleur il est ».
La solitude du blogueur de fond
« J’attends ton article ! » m’avait-elle lancé, joyeuse ; je vois d’ici son sourire amusé, j’entends d’ici son rire. « J’attends ton article ! », façon plaisante de me dire : « Remets-toi au travail… ». Vous connaissez la solitude du blogueur de fond ?
Dolorès
Je m'appelle Dolorès et j'habite la gare de Chartres. Dolorès n'est pas mon vrai prénom. Mon vrai prénom, c'est France. Mais Dolorès me convient mieux ; c'est le prénom que la rue m'a choisi...
Monsieur, encore
Eh oui, le temps passe, comme les cigognes, avec cette triste différence, – il ne fait son nid nulle part...
Laissez-moi vous aimer
Nous n'étions même pas au printemps, il faisait déjà chaud. J'avais mal aux pieds. Parvenu au sommet de la côte, je tournai à gauche dans la rue Olivier de Serres. Je fis quelques pas dans la rue. Un bar, un peu plus loin, occupait l'angle que cette rue faisait avec une autre. J'entrai...