Imre KERTÉSZ, Être sans destin, roman traduit du hongrois par Natalia Zaremba-Huzsvai et Charles Zaremba, 1975, Actes Sud, 1998, pour la traduction française

Ayant refermé le livre, je me suis surpris à penser que la pire des folies ‒ après ça ‒ serait de croire encore à un possible « grand soir de la sagesse », d’espérer sa venue… Sauf à le trouver peut-être « quelque part, de l’autre côté, parmi les mains blanches de la lumière », comme l’écrivait le poète André Frénaud… Ce sera peut-être aussi votre réaction, lorsque vous aurez lu Être sans destin.