« Un homme en spencer, en 1844, c'est, voyez-vous, comme si Napoléon eût daigné ressusciter pour deux heures »
Honoré de BALZAC, Le lys dans la vallée…
♦ Honoré de BALZAC, Le lys dans la vallée : "Fuyez les jeunes femmes !" ..................................... «Le lys dans la vallée, page 166 « Fuyez les jeunes femmes ! Ne croyez pas qu’il y ait le moindre intérêt personnel dans ce que je vous dis ? La femme de cinquante ans fera tout pour... Lire la Suite →
Honoré de BALZAC, Le lys dans la vallée…
♦ Honoré de BALZAC, Le lys dans la vallée, GF Flammarion, n°254, 314 pages, Chronologie, préface et archives de l'oeuvre par Nicole Mozet .......................................... Florilège « L’amour a, comme la vie, une puberté pendant laquelle il se suffit à lui-même », page 78 « Les parvenus sont comme les singes desquels ils ont l’adresse... Lire la Suite →
Honoré de BALZAC, La Maison du Chat-qui-pelote, Le Livre de Poche, 96 pages, préface Patrick Berthier
Honoré de Balzac écrit la nouvelle La Maison du Chat-qui-pelote en octobre 1829. Il vient de publier Les Chouans en avril de la même année ; ces œuvres sont les premières de toutes celles qu'il rassemblera plus tard dans la Comédie humaine. Il a trente ans.
Honoré de BALZAC, La Peau de chagrin, Les Classiques de Poche
Florilège « L’homme s’épuise par deux actes instinctivement accomplis qui tarissent les sources de son existence. Deux verbes expriment toutes les formes que prennent ces deux causes de mort : vouloir et pouvoir. (…) Vouloir nous brûle et Pouvoir nous détruit ; mais savoir laisse notre faible organisation dans un perpétuel état de calme. »,... Lire la Suite →
Honoré de Balzac, La Cousine Bette
Florilège « un imbécile (…) qui n’a qu’une idée en tête, est plus fort qu’un homme d’esprit qui en a des milliers. ». « Quand l’inconnue eut atteint le palier de l’escalier, qui desservait le corps de logis situé sur la rue, elle regarda la porte cochère du coin de l’œil,... Lire la Suite →
Honoré de Balzac, Le Colonel Chabert, Le Livre de poche Classique
Florilège « ‒ Monsieur ! dit la comtesse au colonel d’un son de voix qui révélait une de ces émotions rares dans la vie, et par lesquelles tout en nous est agité. En ces moments, cœur, fibres, nerfs, physionomie, âme et corps, tout, chaque pore même tressaille. La vie semble ne plus être en nous... Lire la Suite →
Honoré de BALZAC, Eugénie Grandet, Librairie Gründ, Bibliothèque précieuse, Paris, 1955
« Maintenant, le cercueil est une transition peu redoutée. L’avenir, qui nous attendait par-delà le Requiem, a été transposé dans le présent. Arriver per fas et nefas au paradis terrestre du luxe et des jouissances vaniteuses, pétrifier son cœur et se macérer le corps en vue de possessions passagères, comme on souffrait jadis le martyre de la vie en vue de biens éternels, est la pensée générale ! »