Mélodie de Vienne a paru d'abord en anglais à New York, où l'auteur, Ernst Lothar, d'origine juive, quittant l'Autriche et fuyant le nazisme, vint chercher refuge en 1938. Mélodie de Vienne raconte l'histoire d'une famille de la bourgeoisie viennoise : la famille Alt, facteur de pianos à Vienne de père en fils. Pour tout dire, le fondateur de la firme, Christoph Alt, a construit le piano sur lequel Mozart a joué ! Franz Alt, son descendant, épouse Henriette Stein, d'origine juive. L'arrivée d'Henriette sème le trouble chez tous les habitants de la maison.
Gustave FLAUBERT, la biographie… d’Henri TROYAT !
« Ah ! Je leur en foutrai des romans ! Et des vrais !… », lettre de Gustave Flaubert à Achille, son frère, du 16 janvier 1857 ♦ Montre-moi ce que tu lis, je saurai qui tu es ? Non, montre-moi ce que tu lis, je saurai si tu me ressembles ! Henri Troyat, ce... Lire la Suite →
Le prétendu silence de Jérôme David SALINGER
Vient de paraître, septembre 2009 : Jérôme David SALINGER, Dressez haut la poutre maîtresse, charpentiers, suivi de Seymour, une introduction, Robert Laffont, pavillons poche, 260 pages, 7.90 euros. Gardons présent à l’esprit que tout artiste ayant choisi de vivre à l’écart des médias – alors qu’il serait naturellement de son devoir de venir manger, de... Lire la Suite →
Petits et grands chefs-d’œuvre, parfois détestables !
Libre à vous de partager ou non l’opinion que voici : en toute chose, je crois aux vertus de l’équilibre. Bien plus que d’une croyance, il s’agit d’une certitude que la vie m'a enseignée avec une patience d’ange et une obstination de marâtre. Cette belle certitude, quant aux vertus vérifiées de l’équilibre, se reflète bien sûr dans mes goûts littéraires. À ce titre, bien obligé de constater hélas que, ce que j’appellerais volontiers « les chefs-d’œuvre illisibles », – longtemps m’a emmerdé de bonne heure ! Illisibles pour moi, mais pas nécessairement pour vous, je vous l'accorde !
L’adverbe de manière dans Madame Bovary, de Gustave Flaubert…
« L’adverbe de manière dans Madame Bovary, de Gustave Flaubert »… : voilà un beau sujet ! Avec lui, nous sommes sûrs, au moins, d’enchanter nos visiteurs et de les multiplier comme de bons petits pains !