Marcel PROUST à l’heure du coronavirus…

Parmi les réflexions et les remarques, qu'énonce Marcel Proust dans son grand œuvre, certaines, lorsque je les aies relues récemment, m'ont paru être écrites comme si elles pouvaient encore et aussi s'appliquer à la pandémie du Covid-19 qui sévit actuellement dans le monde entier... Ce sont celles-là que je reproduis ici, dans un florilège. Je suis convaincu que le lecteur distinguera sans peine, comme j'ai pu le faire moi-même, ce à quoi, de façon si troublante, dans le drame que nous vivons, elles paraissent directement s'appliquer, comme si elles avaient été écrites pour l'occasion... ou ce à quoi elles font simplement écho.

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7 h 50 Nous sommes le 29 août 2016 et il est 7 h 50. Je suis levé depuis quelques minutes. Le temps d’ouvrir la fenêtre en grand, de faire mon lit, me voilà qui descend l’escalier, le bois des marches grince sous mes pieds, j’appuie un peu plus fort, j’adore ce bruit qui me... Lire la Suite →

Devinette pascale, la réponse…

« À partir d'un certain âge nos souvenirs sont tellement entre-croisés les uns sur les autres que la chose à laquelle on pense, le livre qu'on lit n'a presque plus d'importance. On a mis de soi-même partout, tout est fécond, tout est dangereux, et on peut faire d'aussi précieuses découvertes que dans les Pensées de... Lire la Suite →

Devinette pascale

Qui, quel écrivain très célèbre, a écrit : « On peut faire d'aussi précieuses découvertes que dans les Pensées de Pascal dans une réclame pour un savon » ?

Les jours s’en vont comme des chevaux sauvages dans les collines, Points, novembre 2011

Les jours s’en vont comme des chevaux sauvages dans les collines fut publié initialement en 2008 par les éditions du Rocher. Le recueil vient donc tout juste de reparaître en Points, en novembre de l’an dernier.
C’est un bon livre, vous pouvez l’acheter. Sept petits euros. Toutefois, esprits obtus, vierges effarouchées, divorcées de fraîche date, pédés sans humour, sectaires de tout poil, âmes par trop sensibles, s’abstenir…