Figurez-vous que je sortais tout juste de la piscine, je remontais la rue de la Jonquière. Le SDF assis sur le trottoir, que je croise d’habitude, à qui je refile l’euro de la consigne du vestiaire était absent. J’avise la petite librairie sympa, située un peu plus haut, et ses deux caisses à lapins sur... Lire la Suite →
En lisant Sherwood Anderson, Winesburg-en-Ohio ; en relisant Joyce, Dubliners
Qui ne connaît cette dure loi de l'économie « plus un produit est rare, plus grande est sa valeur », et cette autre encore, aussi radicale, et plus décevante, selon laquelle « La mauvaise monnaie chasse la bonne » ? Appliquées à la littérature, et donc transposées, cela nous donne quelque chose du genre : « Les mauvais livres chassent les bons » et « Plus un livre se fait rare, meilleur il est ».