« Les hommes n'aiment pas rendre service, tant à cause du dérangement que parce que la gêne et les revers de leur entourage ne laissent jamais de leur être agréables. En revanche ils désirent être pris pour des bienfaiteurs, recevoir l'expression de la gratitude d'autrui et jouir de ce sentiment de supériorité qui naît du service rendu. »
Le roi Arthur, le voile de mâyâ, l’Italien Souabe, le cri du triomphateur…
Lu dans : Arthur Schopenhauer, Le monde comme volonté et représentation I, pages 700 et s., collection folio essais, Gallimard, 2009. « Il connaît le tout, en conçoit l'essence, et le voit pris dans un écoulement perpétuel, dans des désirs vains, dans un conflit interne, dans une constante souffrance ; aussi loin que porte son... Lire la Suite →
Petits et grands chefs-d’œuvre, parfois détestables !
Libre à vous de partager ou non l’opinion que voici : en toute chose, je crois aux vertus de l’équilibre. Bien plus que d’une croyance, il s’agit d’une certitude que la vie m'a enseignée avec une patience d’ange et une obstination de marâtre. Cette belle certitude, quant aux vertus vérifiées de l’équilibre, se reflète bien sûr dans mes goûts littéraires. À ce titre, bien obligé de constater hélas que, ce que j’appellerais volontiers « les chefs-d’œuvre illisibles », – longtemps m’a emmerdé de bonne heure ! Illisibles pour moi, mais pas nécessairement pour vous, je vous l'accorde !