Emily BRONTË, Les Hauts de Hurle-Vent (Wuthering Heights), Préface de Michel Mohrt, Commentaires de Raymond Las Vergnas, Traduction de Frédéric Delebecque, Le Livre de Poche, 478 pages « C’est une fresque atroce, pleine de bruit et de fureur, qui se situe à mi-chemin entre la tragédie élisabéthaine et Faulkner », Raymond Las Vergnas, page…
Lire plusVirginia WOOLF, Essais choisis, Traduction nouvelle et édition de Catherine Bernard, professeur à l’Université Paris Diderot, folio classique, 533 pages, Gallimard, 2015
Pour tous les passionnés, dont je suis parfois et dont vous êtes peut-être ? de littérature estampillée « classique », celle que le temps en son éternelle sagesse a mûrie, et que la paisible réflexion des savants a consacrée, voici donc encore l’un de ces excellents livres, dont je vous recommande chaudement la lecture. Accompagné d’une…
Lire plusVirginia WOOLF, Une chambre à soi, traduit de l’anglais par Clara Malraux, Denoël, Bibliothèques 10/18
Il y a quelques jours Je reçois un mail… « Ceci, de Marguerite Duras : » … J’écris pour rien. J’écris comme il faut écrire il me semble. J’écris pour rien. Je n’écris même pas pour les femmes. J’écris sur les femmes pour écrire sur moi, sur moi seule à travers les siècles. J’ai…
Lire plusVirginia Woolf, Ce que je suis en réalité demeure inconnu, Lettres (1901-1941), Editions du Seuil, 1993, pour la traduction française ; Points, janvier 2010
Elle fumait, buvait du whisky, elle aimait Léonard, les filles, elle aimait par-dessus tout écrire. Avec ça un nez. Un regard. Un charme inouï. C’était Virginia Woolf.
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